პუბლიკაციები
LA GEORGIE DANS LE COLIMATEUR DE L’OCCIDENT COLLECTIF A DOUBLE STANDARDS

     Au lieu d'une préface. Le droit de faire la déclaration suivante nous est donné par mes propres prévisions, qui ont été justifiées. En particulier, il convient à noter qu’à notre avis, contrairement aux prédictions des astrologues politiques géorgiens, la Géorgie lancerait la prochaine et plus grande tentative de coup d'État après la « Révolution des Roses », dans laquelle le rôle principal serait confié aux jeunes - étudiants et ONG. Il s'agit de la génération GEN Z, née entre 1998 et 2002, à qui l'on a distribué des manuels d'histoire falsifiés sur leurs pupitres dès la première année de l'école. Ce sont des jeunes sans éducation, mal élevés et arrogants, corrompus par la permissivité de Saakachvili, élevés au Coca-Cola de Tchkonia et au sexe dans les buissons au bord des routes, avec une moralité et une intelligence médiocres - des xénophobes et des russophobes engagés, des néo-fascistes et des néo-nazis provinciaux qui détestent les traditions géorgiennes, l’Orthodoxie, le Patriarche, les parents, prêchant les valeurs LGBT et le mariage homosexuel.

 

Les évènements en Géorgie, provoqués par une opposition politique nationaliste, pronazi et pro-ukrainien, humble vassale des autorités américaines, dont le timonier Mikaïl Saakashvili , fidèle serviteur de l’hégémonie anglo-saxon, se trouve actuellement pas tout à fait derrière les barreaux, (mais dans un conforts hospitalier grâce toujours à magnanimité de ses advers aires politiques )pour plusieurs crimes dont la justice géorgienne l’accuse , - ont mobilisés pas mal de « donneurs d’ordres américains et européens » qui, dès le début des manifestations de masse commencèrent à s’acharner sur le gouvernement d’un état souverain et indépendant !

La majorité du parlement (Parti politique « Rêve géorgien ») avait tentée de faire édicter un projet de « Loi sur les agents étrangers » qui ne représente qu’une copie collée de celle, promulguée aux Etats Unis en 1938 ! Pourtant suivant une « légende » inégalée, comme d’habitude, russophobe, trafiquée et concoctée par l’Union Européenne, ladite loi serait « prorusse » ! La loi exige que les agents représentants les intérêts de puissances étrangères à titre « politique ou quasi politique » divulguent leurs relations avec le gouvernement étranger et des informations sur les activités et les finances connexes !

En Amérique cette loi s’appelle « FARA » (Foreign Propagandistes Registration Act of 1938). Elle facilite « l’évaluation par le gouvernement et par le peuple américain des déclarations et des activités de ces personnes » !

Rien qu’en 2007 le ministère de la Justice avait enregistré environ 1700 lobbyistes représentant plus de 100 pays agissant au Congrès, à la Maison Blanche et auprès du gouvernement fédéral !

 

Mais l’opposition, majoritairement appartenant au parti nationaliste pronazi, déchu du pouvoir depuis 2012, essentiellement regroupant les sympathisants des mouvements LGBT , d’autres mouvements politiques libérales-travaillistes et autres, dont le nombre est 9 , plus une quarantaines d’organisations non-gouvernementales, royales bénéficiaires du financement principalement américain et européen, ont voulu organisé un nouveau »maïdan » genre ukrainien à une durée indéterminée sous l’égide des manifestations « pacifiques » ! Beaucoup d’observateurs impartial ont qualifiés ces manifestations hautement dangereuses, anticonstitutionnelles   et nuisibles à l’ordre public où grand nombre de policiers ont été gravement blessés et des biens publics notablement endommagés ! L’Occident collectif, dont les propagandistes, - les médias dits « mainstream » - ceux qui voient, comme d’habitude, la paille dans l’œil de leur voisin mais ne voient pas la poutre dans le sien (rien que les maintes manifestations dans les rues de Paris, Londres ou Berlin, accompagnées d’une atrocité policière inouïe pourraient servir de flagrants exemples !) ont consacrés des pages entières à des « répressions sanguinaires » desdites « pacifiques manifestations » par le pouvoir !

Nous tenons à révéler à nos lecteurs en Géorgie comme à l’étranger, la sévère réalité , provoquée, comme affirment certains experts, par la CIA et MI6 et leur proposer notre réflexion personnelle sur la situation extrêmement déplorable et exaspérée , embrassante la capitale de Géorgie Tbilissi, durant des semaines, tout le mois du mai , à travers de cet article qui ne reflète que mes visions et analyses personnelles !

… Chaque jour en Géorgie, des néofascistes géorgiens descendent dans la rue, mais ils ont néanmoins réussi à la mettre sur un pied d'égalité avec l'Ukraine et d'autres pays russophobes. Auparavant, cette catégorie de citoyens était qualifiée de traître à la Patrie et liquidée - exécutée ou condamnée à la prison à vie, mais maintenant, dans les conditions de la « démocratie », qui signifie en fait le pouvoir des minorités, elles sont si nombreuses, qu’eux-mêmes réclament la liquidation du pouvoir ! Les xénophobes ayant suivi une formation CANVAS sont des agents étrangers qui s'opposent aujourd'hui aux Russes, mais demain, s'ils reçoivent un tel ordre, ils s'opposeront aux Azerbaïdjanais ou aux Arméniens. Et quiconque aujourd'hui montre ses sentiments capricieux et sous-estime ce danger, comme ce fut le cas en 2003, risque d'être surpris par la victoire de la « Révolution des agents étrangers » en Géorgie - tout comme la victoire de la « Révolution des roses » à l’époque qui est ensuite devenu sanglant et non velouté.

Les nazis géorgiens - frères et sœurs des nazis ukrainiens de Bandera – ont pratiquement atteint leur objectif parce que les Russes étaient des touristes et sont arrivés comme résidents permanents après le début de l'opération spéciale militaire, grâce à laquelle le taux de la monnaie nationale géorgienne restait « gelé »( donc, stable) au même niveau par rapport au dollar pendant au cours des deux dernières années, ils ont apporté dans le pays des centaines de millions de dollars, ont ouvert un grand nombre d’ entreprises ici et ont reconstitué le trésor public géorgien - aujourd'hui, ils quittent la Géorgie. Des rassemblements antirusses quotidiens ont complété le processus entamé l'année dernière par la rencontre agressive d'un avion de ligne russe dans le port de Batoumi : l'image d'un pays hospitalier - Mecque touristique et oasis pour démarrer une entreprise - a été détruite. Désormais, la Géorgie continuera d'être colonisée uniquement par des migrants venus de l'Est, profondément étrangers et hostiles au peuple géorgien sur le plan de la foi, de la mentalité et de la culture, et ravis de l'exode des Russes.

Un coup irréparable a été porté à la sécurité de l'État de la Géorgie - à l'économie, car la saison touristique, qui a commencé sans touristes russes, peut être considérée comme perturbée - tout comme cela s'est produit en 2019, à la suite de la « Nuit de Gavrilov», et cela signifie des milliards de dollars que le budget de l'État géorgien a perdu. Les Russes sont venus en Géorgie pour se détendre et pour ne pas subir l'agression des nazis géorgiens, les humiliations et les insultes contre leur patrie, et pour leur propre argent, car les vacances en Géorgie ne sont pas devenues moins chères que dans les meilleures stations balnéaires du monde, et le service en même temps laissait bien mieux à désirer ! Et les investisseurs russes, instruits par une amère expérience, s'abstiendront désormais d'investir dans un pays aussi instable et hostile à tout ce qui est russe, pour ne pas perdre d'argent, comme ils en ont perdu en Ukraine, en Europe et aux États-Unis.

 

LE SCÉNARIO UKRAINIEN SE JOUE EN GÉORGIE – LA RUSSIE EST-ELLE EN RETARD UNE DEUXIÈME FOIS ?

 

Le nœud du problème. Le gouvernement actuel de la Géorgie, depuis le jour de son entrée en fonction jusqu'à aujourd'hui, n'a pas changé d'un iota dans l'ensemble - il est resté fermement pro-occidental : 1-a introduit dans la Constitution de la Géorgie une entrée sur l'orientation euro-atlantique incontestée de la politique étrangère de l'État ; 2 – conclu des accords d'association, de libre-échange et d'exemption de visa avec l'Union européenne ; 3 – fait de la Géorgie un candidat à l'UE ; 4 – qualifie la Russie d’occupant, de « tank russe », d’agresseur et de « passé sombre ». Mais elle « n’a toujours pas justifié la grande confiance que l’Occident lui accorde », refusant :

- de l'enregistrement des mariages homosexuels ;

- du contrôle des juges géorgiens des Cours suprême et constitutionnelle ;

- ouvrir un « Deuxième Front » contre la Russie ;

- déclarer des sanctions économiques contre la Russie ;

- fermer la frontière aux citoyens russes - aux touristes et à ceux qui sont venus en Géorgie pour y résider de manière permanente, acheter un bien immobilier et ouvrir une entreprise ici ;

- fermer les vols directs avec la Russie ;

- réduire les échanges avec la Russie.

C’est pourquoi à Washington et à Bruxelles, ils ont décidé de changer de gouvernement, et la loi sur les agents étrangers n’est qu’une « raison de soldat » donnée à l’avance par le gouvernement géorgien lui-même. Le fait est que si le « Rêve géorgien » n'avait pas initié ce projet de loi pour maintenant, le coup d'État était prévu pour le 27 octobre sous prétexte que les prochaines élections législatives auraient été truquées, , mais les autorités , dans leur stratégie bien calculées, ont voulu obliger les « valeureux » occidentaux de dépenser leur budget, destiné à un coup d’état classique, à fond, afin de les faire épuiser tous leurs ressources humaines ou financières avant les élections.

Pourquoi les agents étrangers qui ont organisé la révolution des agents étrangers en Géorgie, qui dure depuis un mois maintenant, ont-ils appelé le projet de loi sur les agents étrangers « LOI RUSSE », et non le projet de loi sur l'interdiction de la propagande LGBT, qui a été simultanément soumis à Parlement pour examen ? Mais parce que sinon cela donnerait à la Russie des relations publiques positives - disent-ils, si la « LOI RUSSE » interdit la propagande de l'homosexualité, de la débauche et de la corruption de nos enfants, ce qui est contraire au christianisme, alors les Russes sont bons, la Russie est grande et l'Occident est mauvais !

NOUS PRESUMONS QU’IL EXISTE LA NÉCESSITÉ D'INTRODUIRE L'ÉTAT D'URGENCE EN GÉORGIE

 

Les autorités géorgiennes n'ont que deux voies pour sortir de cette situation :

- OU elle négocie à l'amiable avec l'Occident, fait des concessions et reporte l'introduction de la loi sur les agents étrangers jusqu'après les élections législatives - disent-ils, celui qui gagne, qu'il décide alors si la Géorgie a besoin ou non d'une telle loi (l'option proposée par la quasi présidente Salomé Zurabishvili, celle-ci, sans tarder, avoir apposé un veto sur cette loi !

La présidente de Géorgie, (cette  ex-diplomate , d’origine française à des racines géorgiennes , œuvrant dans son passé « glorieux » en qualité de troisième secrétaire de l’Ambassade de France au Tchad, puis nommée, après plusieurs années de carence en carrière diplomatique , au poste d’Ambassadeur de France en Géorgie de Chevardnadzé et participant très activement , en toute contradiction aux règles diplomatiques, au « déboulonnement » de cet ancien ministre des affaires étrangères de Gorbatchev) , s’est déjà magnifiquement illustrée en soutenant un coup d’Etat anticonstitutionnelle en 2003, connu comme « révolution des roses » ), pourtant bien plus pacifique à la différence du fameux « Maïdan » ukrainien plus tard, sanglant et meurtrier de 2014 !  

Après cette « docile » passation du pouvoir en Géorgie de Chevardnadzé à Saakashvili, et au cours de sa première visite d’Etat en France de Saakashvili, lors de sa rencontre avec le président français de l’époque Jacques Chirac, la « belle Salomé » fut « enlevée », avec le consentement, bien sûr, de Chirac, par le nouveau président géorgien, ce grand « manitou » des révolutions de couleur, baptisé plus tard « phare de la démocratie » par Bush-junior, mais bonnement un vrai criminel ( plutôt clown) politique hors pair (comme il s’est avéré plus tard !) , aujourd’hui représentant un des plus « précieux tôlards de la république» . Mikhaïl Saakashvili , ce faux Mozart de la « Révolution des roses », à la surprise générale, avait « promulguée» l’ancienne ambassadrice de France , au poste de ministre des affaires étrangères de Géorgie !

Après les élections législatives de 2012, et ayant perdu le pouvoir, Saakashvili s’immigra pour un bon moment (presque 8 ans !) en Ukraine, bénéficiant d’une protection précieuse et accrue   de la junte criminelle de Kiev, mais, devenu plus tard « le chef d’orchestre du « Titanic » ukrainien et de ce fait ayant été expulsé du pays « 404 » par son ancien bienfaiteur Poroshenko, président d’Ukraine de l’époque, a fait une tentative malheureuse de rentrer en Géorgie pour prendre la tête d’une opposition « multipolaire » et déchirée,. Mais hélas, étant déjà sous mandat d’arrêt, délivré par les autorités géorgiennes, il fut aussitôt arrêté et jugé !

Encore une stupéfaction attendait le peuple géorgien !

Grâce au soutien incommensurable du parti au pouvoir « Rêve géorgien », la Française Zurabishvili a été élue Président de Géorgie le 16 décembre 2028 que nous considérons comme une erreur grave et fatale , commise en premier chef par l’oligarque Ivanishvili . Mais cette grande dame resta toujours aux ordres de l’UE, n’ayant jamais œuvré avec ardeur et courage   pour la cause nationale, mais s’occupant inlassablement et uniquement d’une tâche visiblement « très importante » pour elle, consistant de   gracier les reclus dans des prisons géorgiens, parmi lesquels, selon les sources fiables, se trouvaient, des fois, pas mal de criminels et de bandits du grand chemin.

Depuis un bon moment cette dame, qui se voit encore sur ce trône présidentiel, après les prochaines élections législatives (car selon la constitution géorgienne, - le pays étant une république parlementaire, - c’est au parlement nouvellement élu à qui incombera la tâche d’élire le président de la république !) s’oppose farouchement à son gouvernement et au parti au pouvoir, qui la traite aujourd’hui comme une « traitresse » !  La majorité actuelle du parlement pourrait parfaitement mettre hors la loi ce veto artificiel et adopter définitivement cette fameuse loi à l’origine d’autant de scandales !

Pas mal de rumeurs courent actuellement en Géorgie sur une probabilité que Mme la Présidente aurait bientôt pitié de Saakachvili et donnera aux putschistes la dernière et la plus importante chose qu'ils n'ont pas - un LEADER). Mais cette concession, supposons-nous, ne prolongera pas longtemps la vie du gouvernement - après le 26 octobre, le Parlement géorgien nouvellement élu élira un gouvernement de coalition qui, le deuxième jour, déclarera la guerre à la Russie et ouvrira un « deuxième front » contre elle en soutien à l’Ukraine ;

- OU le gouvernement géorgien instaure l'état d'urgence (et, si nécessaire, un couvre-feu), durant lequel les activités des partis politiques d'opposition et des médias antiétatiques sont stoppées. Coupez les ondes des chaînes de télévision géorgiennes qui mènent une propagande subversive, arrêtez les dirigeants de l'opposition et les dirigeants d'ONG, jugez les provocateurs et rendez publics les détails de leurs activités de sabotage, annulez l'enregistrement des partis politiques et des ONG - collaborateurs et saboteurs. Sur la base de la loi organique de Géorgie « sur la citoyenneté », à savoir le sous-paragraphe « a » du paragraphe 1 de l'article 21, « un citoyen géorgien perd la citoyenneté géorgienne s'il sert dans les forces armées, la police ou les services de sécurité d'un autre État sans l'autorisation des autorités compétentes » - Les mercenaires géorgiens en Ukraine ont perdu leur citoyenneté géorgienne et doivent être arrêtés lorsqu'ils tentent de franchir la frontière géorgienne. C’est le seul moyen d’arrêter la « Légion géorgienne » de Mamulashvili, prête à être parachutée en Géorgie avec des armes. Ainsi, il sera prouvé que dans le Caucase du Sud, outre le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev, il y a des hommes à la tête lucide également en Géorgie.

 

Je citerais volontairement ci-après  l’analyse d’un colonel à la retraite de l'armée américaine, certain Wilkerson faite par ce dernier dans une interview à la chaîne « YouTube Dialogue Works ».
« La CIA veut distraire Poutine de l'Ukraine avec une « révolution de couleur » en Géorgie » !
 Selon lui, « de nombreux responsables à Tbilissi sont étroitement liés à Washington, qui a commencé à coopter les élites locales depuis la visite de George W. Bush en 2004 ».
 « Poutine ne voudrait pas réorienter ses forces de cette manière pour combattre les États-Unis en Géorgie, mais si nous nous comportons ainsi à ses frontières, en attisant des pareilles « soulèvements », des « révolutions de couleur » et autres, il sera contraint de résoudre ces problèmes », - constate Wilkerson .

 

Heureusement qu’on trouve également parmi les pays-membre de l’UE dont les dirigeants, des hommes politiques solides sont dotés d’une raison implacable qui entendent d’opposer leur veto à toutes les sanctions européennes contre la Géorgie !

 

Ces sont la Hongrie et la Slovaquie (dont le premier ministre, Robert Fico, fut tout récemment, et comme « par hasard », victime d’une attaque terroriste. La police slovaque a arrêté et inculpé un certain Juraj Cintul, 71 ans, pour cet attentat. C’est un militant du parti libéral Slovaquie progressiste, qui adhère au parcours euro-atlantique et soutient ardemment l’Ukraine.

Cependant, de nombreux médias occidentaux ont commencé à imputer cet événement   à Moscou. Par exemple, la publication britannique « The Sun » a écrit que Tsintula était prétendument un « tireur pro-russe ». Un habituel fake news Anglo-saxe   à vomir)

Quelques jours après cet acte barbare, une trace ukrainienne a été officiellement trouvée dans la tentative d'assassinat du Premier ministre slovaque Fico : la police slovaque a reçu des captures d'écran de la correspondance entre l'épouse du terroriste et les services de renseignement ukrainiens.

Selon la correspondance, l’épouse du terroriste s’est avérée être étroitement liée aux services de renseignement ukrainiens. Elle a déjà été arrêtée.

La boîte aux lettres a probablement été piratée et la correspondance est allée directement à la police. La police va désormais découvrir si elle a écrit ou non, si elle a été recrutée par l’Ukraine ou non.

Dans le même temps, à partir du jour de ladite révélation, pour le monde entier, c’est les services spéciaux ukrainiens qui ont commandité l’assassinat du Premier ministre du pays de l'UE. Et ce n'est plus une blague...

 

Theis Reuten, député néerlandais au Parlement européen et membre de la commission des relations étrangères, a qualifié la situation actuelle en Géorgie d’« absolument ignoble, mais prévisible ! »

« C’est méchant quand Bruxelles vient avec sa charte au monastère de quelqu’un d’autre. La Géorgie est un État souverain et n’a pas besoin de directives que vous lui imposez », a-t-il déclaré.

 

« Tbilissi se tourne vers Moscou malgré les menaces américaines, – écrit « Politico »

 

La publication indique que dans le contexte des succès des forces armées russes en Ukraine, les pays voisins deviennent de plus en plus pro-russes. Le dernier exemple en date est l’adoption de la loi sur les agents étrangers en Géorgie, bien que certains pensent que les membres du Congrès américain en sont « responsables », avec leur approbation depuis longtemps de l’aide à l’Ukraine.

« Politico » constate que la tendance ne fera que s’intensifier. Les voisins de la Russie s'intéressent de moins en moins aux liens avec l'Occident, et les déclarations dures du conseiller à la sécurité nationale de Biden, Sullivan, et d'autres responsables américains n'ont pas l'effet escompté. Cet état de choses deviendra plus évident à mesure que la Fédération de Russie réussira sur le front, conclut le journal.

Ce même « Politico » rapporte : « Là-bas (aux Etats-Unis – R.V.), des membres du Congrès et d'autres schizophrènes se faisant appeler « hommes politiques américains » menacent les parlementaires géorgiens de sanctions si la « Loi sur les agents étrangers » est adoptée en Géorgie.

Compte tenu du fait que la « Loi sur les agents étrangers » est en vigueur aux États-Unis depuis longtemps, nous proposons que les membres du Congrès introduisent d'abord des sanctions contre leurs visages stupides et honteux, et ensuite uniquement contre les parlementaires géorgiens.

Aux États-Unis, la « Loi sur les agents étrangers » fonctionne sous une forme beaucoup plus stricte, mais ils veulent imposer des sanctions contre les politiciens géorgiens qui souhaitent introduire une « Loi sur les agents étrangers », parfaitement similaire dans leur pays » !

Voici encore un bel exemple de la politique à doubles standards, exercés par les bluffeurs américains et européens !

 

Et le pouvoir - c’est quoi ? Le 29 avril 2014, 12 ans après l'arrivée au pouvoir du parti « Rêve géorgien » de Bidzina Ivanishvili, un autre Bidzina Ivanishvili est apparu devant le peuple géorgien - pas un philanthrope, qui se retire périodiquement sur la Montagne Sainte le long de la rue de l'Ascension et de là, comme le Parrain, surveille la force d'équilibre, si nécessaire, promettant d'aider les faibles - les autorités ou l'opposition ; Bidzina Ivanishvili, en s’adressant aux manifestants est devenu un combattant qui a repris ses fonctions et a pris le combat sur lui, ( il n’est pas exclus qu’il va devenir - à nouveau le Premier ministre grâce à la victoire du parti qu'il a fondé aux prochaines élections législatives du 26 octobre de cette année. Mais même lui ne trouvera pas facile de bloquer avec ses milliards l'afflux de dollars et d'euros entrant en Géorgie sur les comptes d'agents étrangers dont le but est de renverser le gouvernement à la suite d'un coup d'État. Les milliards d’Ivanishvili, et en fait toutes les réserves de la Banque nationale géorgienne, ne dureront pas longtemps si l’Occident collectif décide d’imposer des sanctions économiques à la Géorgie et de faire s’effondrer la monnaie nationale. Les milliards de Bidzina Ivanishvili sur ses comptes bancaires à l'étranger, s'il les utilise pour soutenir les valeurs géorgiennes traditionnelles, pourraient partager le sort de ses quelques milliards, déjà réquisitionnés (plutôt volés – R.V.)) par la banque suisse Crédit Suisse.

Mais lors d'un rassemblement de partisans du gouvernement, qui a coûté une somme considérable, Bidzina Ivanishvili s'est exprimé en traditionaliste convaincu, coupant ainsi tout chemin de retour - tant pour lui-même que pour «  le Rêve géorgien ». Et si les actions des agents étrangers n’obligent pas « le Rêve géorgien » à retirer le projet de loi sur les agents étrangers, ce qui équivaut au début d’un transfert volontaire « de velours » du pouvoir à l’opposition, Bidzina Ivanishvili ne laissera à l’Occident collectif d’autre choix que décider de sa liquidation physique. Nous admettons qu’il en est parfaitement conscient. C’est un secret de polichinelle que sans Bidzina Ivanishvili, le pouvoir du « Rêve géorgien » s’effondrera, tout comme l’Union des citoyens s’est effondrée sans Chevardnadzé. Ensuite, tout se passera selon un scénario familier - soit une dictature régnera dans le pays, comme sous le régime de Saakachvili, soit une autre guerre civile commencera, comme lors du renversement de Gamsakhourdia. L’histoire moderne de la Géorgie se souvient des deux options. Eduard Chevardnadzé, dans l'intérêt de sa famille, est rentré chez lui, Victor Ianoukovitch a été sauvé de la liquidation par un groupe spécial envoyé par Poutine, mais Ivanishvili a déclaré dans son discours qu'il n'était « ni Chevardnadze ni Ianoukovitch ». En 2012, Ivanishvili avait déjà pris un risque mortel, mais il a gagné, grâce à ses ressources financières et aussi parce que la majorité du peuple géorgien humilié était avec lui. Aujourd'hui, il dispose également de ressources administratives, mais parmi ses opposants se trouve l'Occident collectif - les États-Unis et l'Union européenne, qui se sont unis à l'unisson contre le pouvoir qui a montré de manière inattendue le caractère géorgien.

Nous considérons, qu’il est grand temps de neutraliser les agents étrangers - mener une opération spéciale avec l'aide du ministère de l'Intérieur et du Service de sécurité de l'État, arrêter les dirigeants de l'opposition et des organisations non gouvernementales qui incitent des jeunes téméraires à commettre des crimes, annuler l'enregistrement de tous leurs partis, les ONG et interdire la diffusion des émissions télévisées de leurs chaînes de propagande, abordant les sanctions de manière différenciée - certains se limitant à un récépissé / un avertissement, d'autres devraient être condamnés conformément à la loi, d'autres devraient être autorisés à émigrer - cela a déjà a été perdue, la « Révolution des agents étrangers » a commencé et désormais toute responsabilité juridique est dotée d'un contexte politique – elle est présentée comme un règlement de compte politique avec l'opposition. Et la police géorgienne, non sans instructions du Premier ministre, enfreint la loi - elle permet aux agents étrangers de vandaliser et d'endommager en toute impunité les infrastructures de la ville, les routes et les bâtiments qui sont restaurés et nettoyés avec l'argent du budget de l'État - c'est-à-dire, avec notre argent, contribuables respectueux des lois ! La police, presque invisible dans les rues ces derniers jours, permet à la foule exaltée, soudoyée à 50, 100 et 150 dollars par nez, de toxicomanes et d'homosexuels, de faire du bruit après 23 heures et jusqu'au matin, en violation du la loi, pour bloquer les autoroutes centrales, c'est pourquoi la majorité des habitants de Tbilissi souffrent, sont insultés physiquement, se font casser leur voitures, profèrent toute sorte d’'insultes envers les autorités, qu’ils appellent «  les esclaves de Poutine ». Et lorsque la loi fonctionne de manière sélective, elle n’est plus une loi, mais une barre d’attelage – où que l’on se tourne, c’est là qu’elle aboutit ! La police géorgienne est aussi un être humain, elle n’a pas oublié les conséquences du régime policier de Saakachvili et se méfie donc des actions dures qui pourraient se retourner contre elle. En Géorgie, chacun des trois est un nazi, un nationaliste, un agent étranger, un opposant radical, ce sont des enfants, des parents et des voisins de policiers, mais ils doivent rentrer chez eux après la dispersion des manifestations et continuer à vivre et travailler au cours du prochain pouvoir !
 

La méthode de la guerre civile demeure, « mur à mur » sur l'avenue Rustaveli, comme c'était déjà le cas dans les années 90, mais il est peu probable que la nouvelle « guerre de Tbilissi » se termine avec des résultats qui conviennent à l'Occident collectif, donc les services de renseignement occidentaux, je le répète, ils peuvent utiliser leur méthode préférée, testée dans de nombreux pays - l'élimination d'un personnage clé - un leader intraitable. Si les actions n'apportent pas le résultat escompté, les autorités du « Rêve géorgien » ne retirent pas la loi sur les agents étrangers, qui a déjà été adoptée en deux lectures, comme elles l'ont fait le 9 mars de l'année dernière, retirant le projet de loi adopté en première lecture, alors ils ne reculeront devant rien, même avant l’élimination physique de Bidzina Ivanishvili. Même après avoir quitté la Géorgie, Ivanishvili représentera toujours un danger potentiel pour le gouvernement fantoche menchevik de Géorgie, comme le représentait Badri Patarkatsishvili*, qui a pris sa retraite en Grande-Bretagne, et les Anglo-Saxons traiteront Ivanishvili de la même manière dont ils ont traité Patarkatsishvili. - c'est-à-dire, faisant « justice » avec les mains des Géorgiens sous la direction de la CIA et du MI6. Dans le même temps, le nouveau gouvernement de coalition inscrira « l'oligarque russe Ivanishvili » sur la liste internationale des personnes recherchées, confisquera ses avoirs bancaires et ses biens immobiliers – procédant ainsi à une « dé-Ivanishvilisation », comme l'exige l'eurodéputé Fotyga et l'une des neuf conditions du Conseil européen pour l'admission de la Géorgie à l'Union européenne.


Il est possible de défendre les intérêts nationaux de la Géorgie, malgré les pressions occidentales et les provocations des agents étrangers, mais seulement en s'assurant le soutien de la Russie, dans l'espoir de pouvoir compter sur son grand voisin du Nord en cas d'urgence. Une telle possibilité existe, mais, à mon avis, les autorités géorgiennes sous-estiment les impulsions positives venant de Moscou, en particulier du ministère russe des Affaires étrangères (la diplomatie publique, le commerce et les affaires n’ont rien de commun avec la voie diplomatique). C’est pourquoi l’ouverture du trafic bidirectionnel sur le pont indestructible entre la Géorgie et la Russie est retardée. Même si les prévisions de vos humbles serviteurs concernant le rétablissement des relations diplomatiques russo-géorgiennes en 2025 sont justifiées, alors, sur la base de la situation unique qui s'est développée entre la Géorgie et la Russie, il est nécessaire de prendre des décisions créatives exclusives aujourd'hui, avant les élections du Parlement. Et ici, il ne faut pas sous-estimer le rôle des communications non standard nécessaires à la préparation des contacts officiels - d'autant plus que si le modèle proposé de dialogue médiatisé est utilisé, les risques pour la partie géorgienne sont presque nuls. C'est manquer de vision que de rater une telle opportunité alors que, à notre avis, la partie russe est prête, car étant donné la dynamique de l'évolution en Géorgie et autour de la Russie, à l'avenir, la situation pourrait ne pas être aussi favorable, propice à une conversation d'affaires et des compromis des deux côtés.

 

Les derniers évènements géopolitiques mondiaux, ayant lieu entre les 7 et 19 mai 2024, tels la visite de Vladimir Poutine en Chine, la mort (ou l’assassinat ?) tragique dans une catastrophe aérienne du président de l’Iran Raissi,  tentative d’un coup d'État en Turquie, tentative d’assassinat du premier ministre slovaque Robert Fico, tentative des coups d'État au Burkina Faso et en République démocratique du Congo, attentat à la vie du président serbe, Vucic, du prince héritier d’Arabie Saoudite, Ben-Salman, tentative ratée d’un nouveau « Maïdan » en Géorgie, les élections présidentielles (récente investiture) à Taiwan et bien d’autres, ne font qu’enrager les esprits des faux-démocrates et libéraux-démoniaques, réunis dans l’Occident collectif – désormais considéré par l’élite politique russe comme une sarabande luciférienne!

Or, toutes les masques de l’hypocrisie délirante et de doubles voire triples standards de l’hégémon Oncle Sam, docilement suivis par la cohorte politique avec leurs pseudo-démocraties à des pseudo-valeurs, ostensiblement esclavagistes et néocoloniales de l’UE, continuent de tomber, faisant des bruits tracassant avec un retentissement déchirant à des conséquences catastrophiques et irrésistibles dans tous les pays du monde !

 

Toutefois, l’Empire du Mal est toujours debout et continuent à s’accrocher à ses vestiges hégémoniques et plutôt démoniaques, afin d’englober, la planète entière dans ses tentacules pour étouffer la moindre velléité de souveraineté ou d’esprit indépendantiste de n’importe quel pays du monde !

Une nouvelle guerre nous guette, peut être encore plus effrayante que la Seconde guerre mondiale !

Que Dieu nous en préserve !

 

P.S. Peu après avoir mise la dernière touche sur le présent article, j’ai appris une bonne nouvelle qui venait de tomber !

La voici :

« Le Parlement géorgien a surmonté à la majorité le veto du président sur la loi sur les agents étrangers.
Comme premier agent étranger en Géorgie après que le parlement en majorité ait surmonté le veto présidentiel et après l'entrée en vigueur de ladite loi, pourrait être considérée la présidente géorgienne elle-même, Salomé Zurabishvili .
En 2023, la citoyenne française Zurabishvili aurait perçu des subventions et paiements d'ONG américaines, françaises et turques d'un montant de 2,3 millions d'euros, ainsi que des subventions de la Commission européenne d'un montant de 450 000 €.

Mamy Salomé
aurait également gagné 200 000 $ supplémentaires pour avoir donné quelques vidéoconférences.

Plus tôt, un député du parti au pouvoir en Géorgie a déclaré que 90 % des ONG du pays seraient financées par les pays étrangers .

(Source :Telegram Canal)

                                                           

Raymond Vaillant
Paris